Les mots de la sophrologie

Acouphène – L’acouphène est une sensation auditive non liée à un son généré par une vibration d’origine extérieure à l’organisme et inaudible par l’entourage. Les acouphènes peuvent être permanents, intermittents, variables ou temporaires. Les cas graves sont assimilables à de véritables douleurs chroniques allant jusqu’à une forte détérioration de la vie quotidienne, de la concentration et du sommeil. Il n’existe pas de traitement des acouphènes permettant de les guérir à coup sûr. La sophrologie utilise ses propres techniques cognitivo-comportementales en agissant sur la sphère émotionnelle et psychologique, notamment sur l’anxiété. Elle apporte très souvent (60 à 75% des cas) un soulagement significatif et une réelle efficacité quel que soit le degré de sévérité initial des acouphènes.

Addictions – On parle d’addiction quand on ne peut plus se passer d’un produit ou d’un comportement, malgré leur effet nuisible sur sa santé ou sur sa vie sociale. Toutes sortes d’addictions existent, liées ou non à des substances : tabac, alcool, drogues, médicaments, ou troubles des conduites alimentaires, jeux, sports, cyber addictions, pratiques sexuelles, sans oublier l’addiction au travail. La sophrologie permet de faire évoluer ses comportements.

Anxiété – L’anxiété est caractérisée par un sentiment d’appréhension, de tension, de malaise, de terreur face à un péril de nature indéterminée. L’anxiété se distingue de la peur qui répond à une situation menaçante réelle. L’anxiété pathologique revêt de multiples aspects : l’anxiété généralisée, les phobies, les troubles obsessionnels-compulsifs, la crise de panique, le stress post-traumatique. Une anxiété intense peut devenir un trouble anxieux lorsque cette émotion devient envahissante et qu’elle entraîne de manière permanente ou discontinue une souffrance significative à l’individu. L’accompagnement sophrologique intervient sur les processus cognitifs, conscients ou non, à l’origine des émotions et de leurs désordres. Il s’attaque aux difficultés de la personne dans « l’ici et maintenant » par des exercices pratiques centrés sur les symptômes au travers du comportement.

Bien-être – Le bien-être est un état lié à la santé, au plaisir et à la réalisation de soi, à l’harmonie avec soi et les autres. L’accomplissement de soi est un état d’être intérieur. S’accomplir c’est tout simplement réussir à réaliser entièrement ce que nous avons projeté de faire.

Burn out (syndrome du) Le syndrome du burn out se caractérise par un état d’épuisement général, à la fois psychique, émotionnel et mental. Les symptômes sont le stress, l’anxiété, l’agressivité, puis l’effondrement… Au niveau psychologique, cela peut entraîner une perte d’estime de soi, un état de tristesse et de dépression. Il est plus généralement associé aux métiers à forte sollicitation mentale, émotionnelle et affective, aux postes à responsabilités ou encore lorsque les objectifs sont difficiles voire irréalisables. Les personnes à risques sont notamment celles qui s’investissent beaucoup dans leur travail.
L’accompagnement proposé par la sophrologie dans la prise en compte du stress professionnel est conçu pour améliorer la capacité d’adaptation aux impératifs et aux contraintes de l’entreprise en mutation permanente. Elle permet de faire découvrir à chacun son propre seuil de tolérance et propose des outils adaptés pour identifier et gérer les sources de stress, quelles qu’elles soient. La sophrologie n’a pas qu’un rôle catharsis de transformation en perception positive de ses capacités individuelles à vivre ces situations. Elle apporte simultanément des outils de développement personnel.

Calme – Plongé entre veille et sommeil grâce à des exercices respiratoires, dans un état de profonde détente et de repos, de relâchement de tous les muscles de votre corps, de « lâcher prise » vous vous déconnectez des peurs et des angoisses, vous accédez à un nouvel état de conscience de votre schéma corporel.

Caycedo – Alfonso Caycedo est un neuropsychiatre diplômé Faculté de médecine de Madrid, né à Bogotá en Colombie en 1932. Il est le fondateur de la sophrologie, qu’il labélisera plus tard « sophrologie caycédienne© ». Confronté professionnellement à l’observation d’états de conscience modifiés, il s’interroge sur la nécessité de modifier la conscience dans un but thérapeutique. Porteur des connaissances occidentales dans les domaines de la phénoménologie, la psychanalyse et l’hypnose, il étudie également le yoga, le zen et plus largement les philosophies orientales. Il regroupe ces différents savoirs pour créer la sophrologie en 1960 et en faire une discipline nouvelle. Afin de se démarquer des pratiques de l’hypnose, de la psychothérapie et de la physiothérapie, Caycedo invente la « vivance phronique » qui est l’essence de toute la démarche sophrologique. La devise de la sophrologie est « Ut conscientia Noscatur », la recherche de la conscience et des valeurs de l’existence.

Confiance en soi – La confiance en soi n’est pas une qualité innée. Les personnes qui n’ont pas confiance en elles se dévalorisent constamment, et n’imaginent pas que les autres puissent leur trouver des qualités. Le manque de confiance les empêche de prendre des initiatives et d’aller de l’avant. Dans d’autres cas, les personnes peu sûres d’elles jouent un rôle pour se sentir plus à l’aise, et se construisent une image qui n’est pas la leur. Ces personnes auront donc des difficultés à trouver un chemin qui leur convient vraiment et ainsi prendre leur vie en main. Alors que la confiance en soi permet de penser de façon autonome, et d’agir plus librement, apportant ainsi aux relations avec les autres un caractère plus authentique et épanouissant.

Conscience – La conscience en sophrologie englobe les aspects cognitifs, les pensées, les croyances conscientes ou non, les affects les émotions et les somatiques. Elle ne s’y conçoit pas comme une simple fonction de rationalisation et distingue trois niveaux de conscience avec des variations quantitatives : veille, sommeil et entre les deux, le niveau sophroliminal. C’est au « niveau sophroliminal » que les sensations corporelles sont le mieux perçues et intégrées. C’est à ce niveau que la dynamisation des structures de la conscience est la plus facile et la plus efficace. La sophrologie distingue trois variations qualitatives des états de conscience : l’état pathologique, étudiée par la psychiatrie ; l’état ordinaire, étudiée par la psychologie ; l’état sophronique, étudiée par la sophrologie.

Détente – Apaisement, bien-être, calme, décompression, décontraction, relâchement, relaxation, répit, repos.

Développement personnel – Le développement personnel renvoie à la connaissance de soi, à la valorisation des potentiels, à l’amélioration de la qualité de vie, à la réalisation de ses aspirations et de ses rêves, etc. Les techniques de développement personnel visent à la transformation de soi : pour se défaire de certains aspects pathologiques – phobie, anxiété, dépression –, soit pour trouver ses ressources propres en se reconnectant à ses ressentis corporels et émotionnels.

Équilibre – Harmonie psychique qui caractérise un comportement dit normal.

Estime de soi – L’estime de soi désigne le jugement ou l’évaluation que l’on porte sur soi-même en rapport à ses propres valeurs. Lorsqu’un individu accomplit une chose qu’il pense valable, celui-ci ressent une valorisation de lui-même. Lorsqu’il évalue ses actions comme étant en opposition à ses valeurs, il réagit comme « baissant dans son estime de soi ». L’estime de soi est le rapport entre ce que nous sommes réellement et ce que nous voulons être (« l’idéal de soi »). En sophrologie, l’estime de soi est la croyance que l’individu peut être l’acteur des événements de sa vie.

Harmonie – Résultat d’un bon équilibre de différentes parties.

Hyperacousie – C’est l’amplification de tous les bruits. La voix d’un proche devient insupportable, se retrouver en réunion avec des personnes qui parlent toutes en même temps peut faire fuir une personne hyperacousique parce que les bruits qui arrivent dans l’oreille sont amplifiés de manières insupportables.

Ici et maintenant – En sophrologie, la relation thérapeutique se fonde sur « l’ici et maintenant », par la sélection avec le patient de problèmes concrets à résoudre et une démarche thérapeutique adaptée par le sophrologue, les sophronisations. La sophrologie vise à harmoniser le corps et l’esprit en ramenant la personne « ici et maintenant » par la conscience de son vécu corporel. Elle utilise la relaxation dynamique pour la perception de la présence et de la conscience de soi et des techniques spécifiques qui associent relaxation, visualisation, et préparation mentale. Elles sont adaptées à chaque personne et permettent de libérer les tensions associées aux émotions et pensées négatives.

Méditation – La méditation est notamment au cœur de la pratique du Bouddhisme, du Yoga, du Zen, mais aussi de l’Islam, de la Chrétienté ainsi que d’autres formes plus récentes de spiritualité où d’approches médicales indépendantes de tout contexte religieux. La pratique de la méditation vise à atteindre la paix intérieure, des états de conscience modifiés ou l’apaisement progressif du mental voire une simple relaxation.

Métamorphose (grossesse) La grossesse et l’accouchement sont souvent des périodes très importantes dans la vie d’une femme, marquées par de profonds bouleversements corporels, émotionnel et psychique. La métamorphose change le regard des autres et la perception de la place que nous occupons dans notre environnement. Ces transformations sont souvent source de solitude, d’angoisses, d’anxiété, de peurs ne serait-ce que celle liée à l’accouchement.

Pathologie – La sophrologie est très utilisée dans le secteur de la santé. On parle de sophrologie thérapeutique ou de thérapie psycho corporelle. Dans les cas de maladies graves nécessitant des traitements médicaux importants, la sophrologie se veut complémentaire et ne peut en aucun cas remplacer la médecine spécialisée. Elle a déjà démontré son efficacité dans les cas de certains cancers, sclérose en plaque (ralentissement), chirurgie (pré et postopératoire), acouphènes et hyperacousie, dermatologie (eczéma), maladie de Crohn (et de nombreux problèmes intestinaux ou gastriques), addictions lourde, etc.

Périnatalité – Prendre du temps pour soi. Les séances de sophrologie prénatale permettent d’apaiser les angoisses et d’évacuer les peurs, d’apprendre à accepter les métamorphoses du corps, de ressentir intensément les manifestations de cette nouvelle féminité, de retrouver confiance en soi, d’élargir le champ des contacts corporels avec le bébé, d’apprendre à surmonter la douleur des contractions et les craintes de l’accouchement, pour le vivre sereinement.

Phobie – En psychopathologie le terme phobie désigne un ensemble de souffrances psychiques qui se présentent de manière différente chez l’enfant où elles sont souvent sans conséquence, ou chez l’adolescent et l’adulte. Lorsqu’elles prennent valeur de symptômes, elles doivent être appréciées comme un signe d’une souffrance psychique. Les phobies sont les formes les plus fréquentes de la famille des troubles anxieux. Les phobies ne deviennent des pathologies que lorsqu’elles entraînent une souffrance importante chez le patient, et une détérioration de sa qualité de vie. La réponse de la sophrologie aux phobies est la relaxation qui permet de prendre du recul, en faisant émerger des zones plus sereines et confiantes de l’être à partir desquelles la perception du monde est différente.

Préparation mentale – Elle se justifie par la nécessité, par exemple à haut niveau de pratique sportive, de faire la différence lorsque le physique, la technique et la stratégie ne suffisent plus pour franchir des caps importants et enchaîner les victoires. La préparation mentale permet, de développer les compétences psychosomatiques et cognitives, une meilleure connaissance de soi, le soutien dans les périodes de contre-performance et le développement de son potentiel. Nos pensées nourrissent nos émotions qui déterminent nos actions. C’est « la différence qui fait la différence », tous les champions le savent.

Relaxation – La relaxation dans la thérapie comportementale. Certaines difficultés psychologiques et somatiques se résolvent simplement par l’apprentissage de la relaxation dans le cadre des thérapies comportementales : séances de relaxation et adoption quasi instantanée d’une attitude détendue dès l’apparition de situations stressantes.

Relaxation dynamique – La relaxation dynamique a été créée par Alfonso Caycedo. Elle sert de complément aux méthodes statiques de la sophrologie. Elle est inspirée des disciplines de l’orient (yoga, zen, bouddhisme), dépouillé de leurs contenus religieux et adapté aux acquisitions occidentales de la médecine. La relaxation dynamique a été conçue pour de multiples applications, le développement de la personnalité, les traitements médicaux, la pédagogie, la prophylaxie et l’adaptation de l’homme a son environnement. Son but ultime est d’être une discipline pour la vie, aboutissant à l’accomplissement de l’homme par la voie de la conscience.

Risques psychosociaux – La sophrologie est utilisée dans les démarches de réduction des risques psychosociaux au travail. Elle a toute sa place dans la prévention et apporte sa contribution dans une démarche globale, pluridisciplinaire et complète. Elle contribue immédiatement à l’amélioration des situations existantes. Elle est bénéfique à tous les niveaux de l’encadrement. Elle réduit les tensions à la source en donnant la priorité aux mesures collectives. Elle peut être planifiée entre mesures conservatoires et interventions régulières.

Schéma corporel – Le schéma corporel est une notion complexe qui recouvre la représentation mentale du corps, son « dessin », les sensations, formes, volumes, posture, etc. Il permet la conscience de soi. Les stimulations corporelles de la relaxation dynamique permettent une liaison fine entre les sensations, la perception (la représentation du schéma corporel) et la motricité. Il ne s’agit pas tant de se représenter notre corps (schéma) que de le ressentir, de le vivre tel qu’il est réellement.
La sophrologie s’appuie sur le principe d’action positive, de schéma corporel comme réalité vécue et sur le principe de réalité objective. Un regard positif est posé sur les situations ou les relations qui posent problème. Nous pouvons choisir de faire les changements nécessaires pour mener une existence plus proche de nos valeurs essentielles.

Sérénité – Dans le tourbillon du quotidien, quand surgit un problème ou que les soucis s’accumulent, il est parfois difficile de ne pas se sentir noyé. Certains partent au quart de tour et envoient tout valser, d’autres restent paralysés, incapables d’avancer. Chacun est plus ou moins émotif, anxieux ou stressé, mais, qui prend le temps de se poser, ne serait-ce qu’un instant ? Cette aptitude à prendre du recul, nous l’avons tous en nous. La sophrologie peut nous aider à faire grandir cette capacité à suspendre la course, à ne plus « ré-agir », mais à « agir » en différé, avec calme et sérénité. Pour mieux aller à l’essentiel.

Sophrologie – La sophrologie est une discipline basée sur une approche cognitivo-comportementale. Elle utilise des techniques proches de l’hypnose, mais aussi celles de la respiration du yoga et de la méditation. L’étape préalable est l’analyse des relations entre les « comportements-problèmes », les pensées, les émotions et l’environnement social et physique. Le sophrologue adapte ensuite les différentes techniques psycho dynamiques propres à la sophrologie. Le principe est de faire parvenir la personne à un « état sophronique » de profonde relaxation, entre méditation et hypnose. C’est au « niveau sophroliminal » que les sensations corporelles sont le mieux perçues pour appréhender son « schéma corporel » et agir pour une modification de l’état initial ou la résolution du problème.

sos • phren • logos – Le terme sophrologie vient du grec sos qui se traduit par « harmonie-tranquilité-sérénité », phren qui signifie « esprit » ou « conscience » et logos qui correspond à « science-connaissance ». Ainsi, la sophrologie désigne la « vivance de la conscience en équilibre ».

Stress professionnel – Stress, anxiété, agressivité, effondrement, burn-out… entrepreneurs, managers, cadres dirigeants, aucun n’est à l’abri. L’accompagnement par la sophrologie dans la prise en compte du stress professionnel est conçu pour améliorer la capacité d’adaptation aux impératifs et aux contraintes de l’entreprise en mutation permanente. Dans l’enjeu du « bien-être au travail », l’apport de la sophrologie est de permettre à chacun de trouver ses ressources propres en se reconnectant à ses ressentis corporels et émotionnels.

Thérapie brève – La sophrologie est une thérapie brève, fondée sur une méthode de détente psychocorporelle qui prend en compte la relation corps-esprit des individus. Créée et développée par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, elle apporte un mieux-être en permettant de trouver ses propres ressources en se reconnectant à ses ressentis corporels et émotionnels. Le nombre de séances varie de dix à vingt, parfois de une à cinq. La sophrologie soulage la souffrance psychologique par un travail sur les états de conscience modifiés, permettant de mobiliser les ressources profondes de l’inconscient en amenant les patients à faire des expériences nouvelles, leur permettant d’affronter le présent et l’avenir de façon plus sereine.

Yoga – Le yoga est bien plus qu’une série d’exercices. C’est un véritable style de vie, permettant d’éveiller sa conscience et être plus en harmonie avec soi-même et son environnement. Il agit sur le plan physique, mental, et spirituel. Les 5 grands principes du yoga sont les suivants :
– une activité physique appropriée, encouragée par les postures tenues (asanas), et permettant de maintenir une bonne posture et un corps en bonne santé,

– une respiration appropriée, encouragée par les exercices de respiration (pranayama), et permettant d’apporter l’oxygène nécessaire à l’ensemble de nos organes,
– une alimentation appropriée, afin d’apporter énergie et vitalité à notre corps au lieu d’avoir l’effet inverse comme le ferait, par exemple, une mauvaise alimentation,
– une relaxation appropriée, permettant d’évacuer le stress et favorisant renouvellement de nos cellules,
– une méditation appropriée, afin de soulager notre mental, avoir les idées plus claires et améliorer nos capacités de concentration.

chambre syndicale

Le présent Code de déontologie est le socle commun des sophrologues adhérents à la Chambre syndicale de la sophrologie. Il définit leurs engagements envers le public, leurs clients et la profession. Ce Code garantit l’éthique professionnelle des sophrologues.

Article 1 – Les sophrologues s’engagent à affirmer l’égalité entre les personnes et à en respecter l’originalité et la dignité.

Article 2 – Les sophrologues s’engagent à interdire toute propagande ou prosélytisme religieux ou idéologique au sein de leurs cabinets ou lieux d’intervention. Ils s’engagent à lutter contre toutes les dérives sectaires dont ils seraient témoins.

Article 3 – Les sophrologues s’engagent à respecter et à protéger l’intégrité physique et psychique des personnes sous leur responsabilité.

Article 4 – Les sophrologues s’engagent à respecter la confidentialité des informations collectées durant leurs accompagnements individuels ou de groupes.

Article 5 – Les sophrologues s’engagent à respecter et à faire respecter la législation en vigueur.

Article 6 – Les sophrologues s’engagent à actualiser régulièrement leurs savoirs et leurs compétences afin de répondre aux attentes du public et aux évolutions de la sophrologie.

Article 7 – Les sophrologues s’engagent à diffuser des offres claires et compréhensibles par le public. Ces offres doivent définir les modalités d’accompagnement, les objectifs visés et les limites de la sophrologie.

Article 8 – Les sophrologues s’engagent à ne pas diffuser d’informations pouvant induire le public ou les médias en erreur ou nuisant à l’image de la profession.

Article 9 – Les sophrologues s’engagent à user de leur droit de rectification auprès des médias afin de contribuer au sérieux des informations communiquées au public sur la sophrologie.

Article 10 – Les sophrologues s’engagent à respecter les concepts et principes généraux de la sophrologie. Ils s’engagent également à ne pas dénaturer ou amalgamer la sophrologie avec d’autres techniques sans que leurs clients en soient avertis.

Article 11 – Les sophrologues s’engagent à respecter les limites de leurs compétences et à orienter leurs clients vers un autre professionnel lorsque celui-ci nécessite un traitement ou une aide thérapeutique ne relevant pas de leurs compétences.

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Article 13 – Les sophrologues s’engagent à conserver leur éthique professionnelle lorsqu’ils interviennent sous l’autorité d’une entreprise ou d’un organisme.

Article 14 – Les sophrologues s’engagent, dans la mesure du possible, à proposer un confrère à leurs clients lorsqu’ils seront dans l’impossibilité à fournir leurs services.

Article 15 – Les sophrologues s’engagent à entretenir des relations confraternelles de respect et de courtoisie, d’honnêteté et de bonne foi avec les autres sophrologues.

Article 16 – Tout sophrologue qui ne respecterait pas le présent code pourrait se voir exclu de la Chambre Syndicale de Sophrologie.

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